Présentation

Des immortels « Nuages » et « Minor Swing » à la musique des Valseuses en passant par des standards classiques (« I got Rhythm », « Misty »...) ou plus modernes (« Someday My Prince Will Come », « Pent Up House »), c’est à l'immense Stéphane Grappelli que Didier Lockwood a voulu rendre hommage.

 

Tout en gardant sa sonorité inimitable et son goût du swing et de la mélodie qui chante, Lockwood ne fige donc rien, pas plus qu’il n’enferme dans sa légende celui qu’il a bien connu et avec qui il a maintes fois joué.

 

Et le pari est réussi : sans fanfare, sans grandiloquence, il évoque en toute amitié, intimité et musicalité, le « géant » débonnaire du violon jazz dont l’archet lumineux éclaira près des trois quarts du XXème siècle, et qui nous quitta il y a tout juste 20 ans. .

http://www.didierlockwood.com

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